Pour en finir avec les abréviations

Amis Bibliophiles Bonsoir,

Lire un catalogue est un plaisir exquis, mais encore faut-il pouvoir comprendre nos amis les libraires. Aussi à toutes fins utiles, je vous propose ce « lexique », issu de diverses sources.

En passant, j’en profite pour rappeler que « frottis » n’est pas un terme bibliophilique, même si on le croise très très (en fait lire trop trop) fréquemment dans les descriptions de professionnels, ou alors il faut le réserver au Baudelocque… Et encore! Dans le même genre, on ne dit pas vElin, mais vélin. Non mais! 🙂
bas. basane
bibl. bibliothèque
bibliogr. bibliographie
br. broché
cart. cartonnage, cartonné
cart. éd. cartonnage d’éditeur
chag. chagrin
coul. couleur
couv. couverture
couv. cons. couverture conservée
couv. imp. couverture imprimée
défr. défraîchi
demi-rel. demi-reliure
dent. int. dentelle intérieure
dépl. dépliant
éd. édition, éditeur, édité
E.O. ou éd. or. édition originale
emb. emboîtage
encadr. encadrement
ép. époque
ex. exemplaire
fasc. fascicule
f. ff. feuille(s), feuillet(s)
f. ff. n.ch. feuille(s), feuillet(s) non chiffré(s)
fig. figure
fil. filet
f° in-folio
front. frontispice
gd, gr. grand
gr., grav. gravé, gravure, graveur
h.c, H.C. hors commerce
h-t., ht., H/T. hors-texte
ill. illustration, illustrateur, illustré
imp. imprimé, imprimeur, imprimerie
in-fol. in-folio
in-t in-texte
jasp. jaspé
lég. léger(s)(e)(es), légèrement
mar. maroquin
mouch. moucheté
mouill. mouillures
mq., mque manque
ms, mss manuscrit(s)
n° numéro, numéroté
nb. nombreux, nombreuses
n.c. non coupé
n.ch., n.chiff. non chiffré
n.r. non rogné
P. Paris
p., pp. page(s)
p.de titre et de tom. pièce de titre et de tomaison
perc. percaline
pet. petit
piq. piqûres
pl. planche
pl. rel. pleine reliure
préf. préface
qq. quelques
rel. reliure, relieur, relié
rel. ép. reliure de l’époque
rel. post. reliure postérieure
rouss. rousseurs
s. siècle
s.d. sans date
s.l. sans lieu
s.l n.d. sans lieu ni date
s.n. sans nom (d’éditeur)
sup. supérieur
t. ou tom. tome, tomaison
tr. tranche
tr. dor. tranches dorées
trad. traduit, traduction, traducteur
us. usagé
v. veau
vol. volume

Faites-en bon usage!

H

39 Commentaires

  1. Vous êtes pleins de ressources c'est fantastique!!!

    Martin merci pour le lien, il s'agit bien du marquis d'Argens et non d'Argenson, il y avait visiblement une erreur dans mon catalogue (si ça commence comme ça…)

    Je commence juste mes recherches (je suis étudiante), et je n'ai vraiment pas l'habitude des catalogues de vente aux enchères, qui sont pourtant ma seule source : serait-ce dénaturer le blog que de venir de temps en temps chercher un peu d'aide auprès d'érudits si réactifs?

  2. Etant donné qu'il n'y a pas de planches (abr. "fig.", en gén.) dans cette éd. (ou les autres) des Lettres chinoises du marquis d'Argens (sic), même pas un p(ortrait), et qu'il semble plus que bizarre d'indiquer la reliure (p. = parchemin se trouve assez souvent) entre le nombre de volumes et le format, la réponse de Bertrand semble la seule raisonnable.
    Et en plus, on trouve dans quelques catalogues les formats in-16 (certainement faux) et in-18 ou une hauteur de 14 ou 15 cm. (Une fois in-8, mais bon…)
    Pour vérifier le format et les planches: http://mirlyn.lib.umich.edu/Record/001791584/Holdings#0

  3. Il n'y a pas de liste des abréviations, hélas, c'est un petit catalogue (21 pages).

    J'ai peut-être fait une erreur, effectivement, en recopiant la citation (ou il y a une coquille, ça ne peut pas être toujours la faute des mêmes!), j'essaierai donc de trancher entre vos deux interprétations.

    Merci pour la rapidité de la réponse et pour le lien vers le glossaire d'abréviations!!

  4. N'y a-t-il pas, au début ou en fin de ce catalogue la liste des abréviations? Je sais que De Bure le faisait dans certains catalogues de ses ventes…

    l'interprétation de Bertrand d'un "p." pour "petit" pourrait convenir parfaitement, surtout quand on voit les usages d'abréviations de ce genre de catalogue ("mar.r." pour maroquin rouge, etc. ; pas toujours très intuitif!)

    On peut aussi penser à une simple coquille, ou au manque d'un signe de ponctuation (6 vol., p., in-12), avec un "p" pour "planches"?

    A vous de retrouver ces "lettres chinoises" pour interpréter la notice à partir de l'original!
    Bon courage! :o)

  5. "6 vol. p., in-12." n'a pas de sens du point de vue abréviatif (si j'ose), le libraire a certainement voulu dire "6 vol. pet. in-12" (ce qui signifie 6 volumes de format petit in-12).

    B.

  6. La citation complète est :

    Lettres chinoises, par le même [càd le Marquis d'Argenson], la Haye, 1755, 6 vol. p., in-12.

  7. Bonjour Messieurs
    (la bibliophilie m'a l'air d'un milieu particulièrement masculin!)

    J'espère que mon commentaire vous parviendra, vu que l'article est un peu vieux.

    J'ai rencontré une abréviation que je ne trouve pas dans les différents lexiques disponibles sur Internet: il s'agit d'un "p." comme pour page, sauf qu'il est situé après l'indication du nombre de volumes.

    Ca donne, en fait: "6 vol. p."

    Avez-vous une idée de ce que cela peut signifier?

    (je précise que les catalogues sur lesquels je travaille datent du XVIII° siècle)

    Merci d'avance pour votre aide!

  8. Il faudrait effectivement pouvoir en finir avec les abréviations. Certaines ont la vie dure.
    Exemple : on n’utilise plus « ff », de même que « pp » pour marquer le pluriel de « f » (= « feuillet » et non « feuille ») ou de « p » (et pour cause : dès le chiffre 2, on sait qu’il y en a plusieurs).
    Le terme « frottis » n’a rien à faire dans le domaine bibliographique. D’ailleurs, l’autoproclamé « Centre national de ressources textuelles et lexicales » ne fait que reprendre le « Trésor de la langue française » (et pour cause : le CNRS gère les deux)qui est très clair sur ce qui nous occupe : prétendre le contraire ne serait qu’une interprétation partielle, et partiale, des textes.
    Les libraires ont l’excuse de s’adresser à des non spécialistes de la bibliographie. A ce sujet, j’ai peur que l’article promis par Gonzalo, très au fait de cette spécialité, complique les choses.
    Dans l’attente, pour Kristian : les pages mises entre parenthèses ou crochets (et ce n’est pas la même chose, alors…)sont celles qui ne sont pas chiffrées ; un « feuillet » = 2 « pages » (1 « feuille » = plusieurs « feuillets » et deux fois plus de « pages »).

  9. Kristian, avec l’accord du chef, je rédigerai un post sur le sujet pour la fin de la semaine. Les choses sont rarement compliquées (encore que…) mais il faut savoir décoder les formules.

    Les catalogues de libraires souffrent parfois d’un manque de rigueur sur ce point, et l’on peut même parfois y voir des incohérences d’une notice à l’autre, ce qui ne facilite pas les choses.

    A bientôt.

  10. Ce qui m’échappe, ce sont les paginations. Hugues pourrait-il écrire un post sur les abréviations utilisées pour signifier le nombre de pages (certains chiffres sont entre crochets, d’autres sont suivis de X, etc.) ? Je m’interroge également sur ce qu’est un feuillet : quatre pages, soit deux feuilles ? Merci !

  11. Un exemplaire parfait est un exemplaire parfait exempt de coins arrondis, et un exemplaire incomplet traine une tare majeure et ne sera en aucun cas, à priori, un livre « correct », ce qui n’interdit pas que d’autres critères puissent lui redonner de l’intérêt (provenance, rareté insigne, reliure …). Et puis il y a des épaves et il faut les reconnaître. Je n’aime pas cette systématisation de notation. Je me demande si cette classification ne s’inspire pas des philatélistes? On voit de temps en temps ce genre de catalogue où chaque notice se termine pour le moindre broché par le mention « bel exemplaire », je trouve ça insignifiant mais à la reflexion il doit y avoir une école!
    Là dessus je feuillette rapidement quelques catalogues à la recherche de descriptions cocasse.
    Et, petit retour en arrière, je trouve une couleur de plus pour la rubrique: « un demi veau taupe » (pour les myopes probablement)!
    Une figure de style: »relié (sic)plein veau usagé (premier plat détaché) » (je sais que ce libraire a de l’humour).
    Autre figure de style: la description de multiples défauts « maroquin de qualité médiocre…épidermures en bordures, manque en queue, dos bruni. Intérieur très bien conservé. » Inutile d’ajouter « en revanche »!
    Enfin que dire (suivant la classification proposée) de ce livre en cinq volumes: « un feuillet légèrement déboité au tome I, reliures frottées, coiffes abîmées » (et j’ajoute sur photo: pauvre demi-reliure, trous, coupes de papier usées)?…..lot n°91, quatrième vente Bérès, manuscrit autographe et édition originale annotée par Stendhal de La Chartreuse de Parme.
    Lauverjat

    ps: je n’ignore pas qu’une rubrique, au pied de la lettre, c’est rouge!

  12. Bergamote, ne me fais pas endosser les fautes d’orthographe des autres…

    « taches » ce n’est pas moi qui l’ai écrit mais le libraire que je citais.
    Donc « pas ma faute » si ce n’est que je n’ai pas corrigé mon « copier-coller », manquerait plus que je corrige les fautes d’orthographe des autres maintenant !! non mais !

    PS : très bon tes biscuits Empire !! un régal. Merci encore.

    Amitiés, Bertrand

  13. Je pense comme Michel à propos des descriptions du libraire.
    Je pense qu’il faudrait revoir les titres de description comme tel:
    – Très bon état
    – Bon état ou état moyen (non, mais un très bon état avec des trous de ver… elle est bien bonne!)
    – Etat correct ou moyen (« bon état d’usage »… n’importe quoi!)
    – Ruine, allume-feu ou direction-poubelle, au choix pour la dernière description (je dis ça pour rire bien entendu). Ou alors « à fuir comme la peste »? Comment peut-on appeler une ruine un « livre en état correct »? Pages manquantes, sans reliure, et avec des mouillures partout, ça ressemble donc à un état correct. On n’a pas les mêmes valeurs (ou pas le même point de vue commercial sur les livres).

  14. Hugues : moi, « vedettes », ça m’a bien fait rire 🙂

    Bertrand : pas d’accent sur « taches » [et je l’ai déjà dit] (aïe pas taper !)

    Quant au « frottis : ce qui est l’objet d’un frottage, ce qui a subi un frottage », cette définition me donne l’impression que le livre aurait été frotté sciemment, exprès, ce qui n’est (je l’espère) généralement pas le cas. Il n’a donc pas subi un « frottis », mais a simplement été « frotté » au cours du temps.

  15. Bonsoir, j’en pense qu’il n’y a pas de mauvais état. Avec ses descriptions, un mauvais état ça doit être horrible, genre champignons en pleine croissance sur du papier…

    Pour moi, il y a l’exemplaire neuf, ensuite le bon état, puis état moyen et après l’exemplaire de travail. Cordialement, michel.

  16. Tenez, puisqu’on discute catalogue de libraires et descriptifs… voici comment un libraire ayant pignon sur rue sur Ebay définit ses critères d’évaluation de la qualité d’un ouvrage :

    Comment je définis l’État d’un Ouvrage Ancien :

    Excellent état : La reliure est en très bon état, sans tâche, sans manques, les coins et coiffes peuvent être un peu arrondis. La reliure est solide et stable, notamment les mors et les cahiers. L’exemplaire est collationné complet. Les pages intérieures sans manque, déchirures, pliures, annotations, tâches diverses. Rousseurs et brunissures uniformes très minimes à signaler. Sans être neuf, c’est l’état maximal pour un livre ancien.

    Très bon état (ou Très bel exemplaire) : Cette fois-ci, l’ouvrage ne comporte que des défauts minimes à signaler : accrocs aux coiffes, mors usés, légères marques d’usage, etc. L’aspect général est plus qu’acceptable, l’ouvrage complet. Le contenu peut présenter des rousseurs, mouillures ou trous de vers, mais toujours signalés et en petit nombre.
    La mention Très bel exemplaire peut être ajoutée à un livre en très bon état si le livre possède des défauts mais que le reste est effectivement bien conservé et présente un intérêt particulier.

    Bon état (ou Bel exemplaire): Petits défauts sur la reliure. Pour un livre moderne la jaquette peut être manquante. Pas de manque de pages mais quelques tâches, annotations, pliures, déchirures avec ou sans manques, trous de vers peuvent être observés. Tous les défauts doivent être signalés à condition qu’il soient significatifs.
    L’usure naturelle de la reliure, ou les brunissures uniformes des pages ne nécessitent pas de précisions. Si elle est assez prononcée, l’expression Bon état d’usage figure quelquefois, précisant que l’exemplaire a souvent été manipulé.

    Etat correct ou état d’usage : Le livre a vécu : reliure endommagée de façon significative voire absente, contenu parfois incomplet. Défauts importants et/ou en grand nombre. Exemplaire de travail lisible mais esthétiquement très médiocre. Un Bon état d’usage sert parfois à désigner un état correct en gonflant la description.

    Qu’en pensez-vous ?

    Amitiés, Bertrand

  17. Bonjour

    À mon avis frottis sonne un peu comme un diminutif, c’est affectueux, gentil, apprivoisable, insignifiant…
    Frottement fleure la gravité…
    Une description de livre ça se lit aussi entre les lignes.
    Je me souviens de la lecture d’une notice entre deux libraires et le second de conclure « voici une bonne description de libraire! »
    Mon conseil? Téléphoner au libraire pour s’entendre sur la description, c’est souvent instructif, parfois rassurant et toujours agréable. Et il y a parfois des descriptions très sévères!

    Lauverjat

  18. J’avoue un état de frayeur intense…
    Je viens de vérifier dans mon dernier petit catalogue…
    ouf… nada « frottis » quelques « frottés » seulement…

    Je ne suis donc pas une « vedette », me voilà tranquille pour aller au pique-nique…

    Bonne après-midi ensoleillée à tous,

    Amitiés, Bertrand

  19. Anonyme… (en passant, pouvez-vous signer vos commentaires d’un pseudo ou d’un prénom, ça simplifie les échanges).
    « Vedettes » : mot mal choisi par moi et je vous prie de m’en excuser.
    « Frottis » : ce mot m’interpelle depuis un long moment et j’en ai discuté avec un historien du livre, quelques libraires, et deux experts. Tous sont d’accord sur ce point, « frottis » n’est pas adapté. Il serait plus correct de parler de plats frottés, de petites frtottements, voire d’épidermures ou d’éraflures, selon ce que l’on veut dire. Aucun d’entre eux n’utilise « frottis ». Après chacun fera ce qu’il veut.
    Le dictionnaire de l’académie donne : FROTTIS n. m. XVIIe siècle, « action de frotter ». Dérivé de frotter.
    1. PEINT. Application d’une légère couche de couleur sur le fond du tableau, qui laisse paraître le grain de la toile. 2. HISTOL. Préparation obtenue par l’étalement sur une lame de verre d’un tissu ou d’un liquide organique, prélevé afin d’être examiné au microscope…
    D’ailleurs, pour un coin cassé… on ne dit pas qu’il est « fracturé ». Sourire.

    Ce n’était qu’une observation de ma part, sur ce qui me semble être un abus de language, mais bien sûr chacun est libre.
    H

  20. Frédérick : « i.e. » = id est l’abréviation de l’expressio latine « id est », qui signifie à peu près « c’est à dire » en français.
    H, qui n’a pas perdu tout son latin

  21. Bonsoir,
    Fidèle lecteur je suis étonné de la « fronde » à propos du mot « frottis » pour les descriptions de livres. En effet la définition selon le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales est « Ce qui est l’objet d’un frottage, ce qui a subi un frottage ». Ce qui ici est adapté me semble-t-il. Cordialement, Une des « vedettes » qui utilise ce terme dans ces descriptions.

  22. Bonsoir à tous,

    on trouve parfois dans les collations ces deux lettres « i.e. »
    exemple « 167 pp. (i.e.168) » qui signifie qu’il y a 167 pp. chiffrées, mais que c’est une erreur et qu’il y a en fait 168 pp.
    Je n’ai peut-être pas beaucoup d’imagination, mais que sont ces deux initiales ?
    Merci de m’éclairer, pauvre phalène devenue folle…

  23. Au fait, j’aime beaucoup l’abréviation « jasp. », qui n’abrège rien du tout et occupe, point compris, la même place que le terme qu’elle abrège…
    De l’abréviation comme exercice de style!

  24. Oui, le côté médical, j’avais compris.

    Pour le reste, je n’avais rien compris! Excusez le faux sens, et la réponse inappropriée qui en découle.
    Il est vrai que la mention « plats frottés » me semble bien plus adaptée.
    ;o)

  25. Je parle plutôt des vedettes qui décrivent une reliure en disant qu’il y a quelques frottis sur les plats…
    Le mot ne s’emploie pas ainsi.
    Pour le reste, hum, le frottis, Gonzalo, c’est surtout un terme médical.
    H

  26. Très intéressant, utile et riche lexique, Hugues. Merci infiniment!

    Tu peux nous l’avouer: tu prépare un « abrévolexique » qui va concurrencer Jean-Paul!

    De quel frottis parles tu? Parce que le frottis, pour moi, c’est une technique permettant de réveler le relief d’une reliure estampée, et bien pratiqué, ce frottis n’abîme en rien une reliure. Je le pratique parfois sur des reliures estampées du XVIe siècle, dont les propriétaires (généralement des bibliothécaires) ne sont pas trop effrayés. Il permet souvent, au contraire, d’avoir une vision beaucoup plus nette des fers estampés, et est donc un outil très efficace pour la connaissance du livre ancien.

    Evidemment, il ne faut pas le faire avec la délicatesse d’un tractopelle, mais si on le fait correctement il n’y a aucun soucis.
    Tout le secret réside dans deux points: 1) un papier suffisamment fin (30g maxi), 2) un crayon tenu presque à l’horizontale (pas de pression verticale trop forte sur le cuir). A faire quand on en a l’utilité, bien sûr!

    Le soucis de ce type de pratique ne réside pas dans les pratiques en elles-mêmes, mais dans l’absence de lieu pour les apprendre: un frottis mal enseigné (voire pas enseigné) peut effectivement être dangereux. Mais tant qu’on aura pas inventé la lampe à lumière rasante portative, vive le frottis!

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