Léon Gruel – Conférences sur la Reliure et la Dorure aux professionnels de l’Association Philotechnique (1896) II : la reliure au Moyen Age

Amis Bibliophiles bonjour,

Je vous propose aujourd’hui de redécouvrir une conférence Léon Gruel, telle que donnée en 1896, aux professionnels de l’Association Philotechnique. Après la première partie, consacrée à la reliure dans l’Antiquité, découvrons aujourd’hui les mots de Gruel sur la reliure au Moyen Age:

« À notre dernière réunion, nous avons examiné les différents moyens employés à la conservation du livre dans les temps primitifs ; nous allons maintenant nous occuper de la période dite du Moyen âge, c’est-à-dire de cette époque de transition qui prépara peu à peu celle de la Renaissance.

Nous passerons forcément par dessus l’espace qui s’écoula depuis les temps primitifs que nous avons étudiés à notre dernière conférence, jusqu’au xiiie siècle, car il ne nous est rien resté de spécial au métier. La reliure, dans ces premiers siècles de notre ère, ne fut qu’un travail tout à fait secondaire ; réduite strictement à ses premiers moyens, elle ne servait qu’à recevoir les travaux des bijoutiers, des émailleurs ou des orfèvres.

Pour procéder par ordre, nous examinerons d’abord le côté technique.

Il est fort difficile de préciser l’époque exacte qui a vu remplacer les ais de bois par du carton, mais on peut, sans trop s’avancer, soutenir que tant que l’imprimerie n’a pas vu le jour, tous les manuscrits étaient reliés à ais de bois ; et mes recherches personnelles me prouvent que bien des années encore après la découverte de Gutenberg, la plus grande partie des reliures étaient à ais de bois. Ce n’est donc que tout près et aux environs de 1500 que je ferai remonter l’usage du carton dans la fabrication des reliures.

Depuis longtemps déjà, on s’était aperçu que le bois attirait les insectes, qui fort souvent détérioraient un volume de part en part.

De plus, les ais de bois donnaient à la reliure un aspect lourd, peu gracieux et la rendaient difficile à manier. On avait bien essayé, pour les travaux soignés, de donner un peu de légèreté en entaillant les ais sur le devant et sur les bouts, en forme de biseaux (fig. A), en laissant aux coins toute leur épaisseur et toute leur force ; mais, en plus que cet allègement nuisait à la décoration, l’ensemble restait inutilement lourd quand même, et ce résultat peu pratique, joint au dommage causé par les insectes, fit définitivement remplacer le bois par le carton.

Avant de quitter complètement les reliures à ais de bois, je pense qu’il vous intéressera de connaître de quelle manière on fixait ces ais après la couture du volume ; et pour cela, je vous ai apporté quelques spécimens qui ont tous le même esprit, quoique différents dans l’application.

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Fig. A.

Veuillez remarquer d’abord, que nos anciens, toujours préoccupés d’obtenir une conservation de très longue durée, employaient pour coudre leurs livres des nerfs faits de parchemin roulé, puis de grosse et forte ficelle. Ils mettaient les nerfs doubles et ces nerfs, qui passaient d’abord en dessus, au bord du plateau, venaient ensuite en dessous se noyer dans l’épaisseur du bois creusé pour les ecevoir, puis, ressortant à l’extérieur, ils étaient coupés après avoir été forcés dans le trou qui leur était destiné, et fortement maintenus par une cheville de bois, également coupée au ras du plateau extérieur (fig. B).

Remarquez encore en même temps, que déjà à la même époque, on faisait aux reliures ce que nous appelons des tranche-files (fig. C), destinées non seulement à tenir la peau des coiffes à la hauteur des plats, mais aussi et surtout à maintenir entre eux le bord des cahiers et à renforcer leur solidité.

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Fig. B.

L’idée de produire solide était tellement poussée à l’excès, que parfois, comme vous pourrez en juger par cet autre document, on allait jusqu’à tranche-filer le livre une fois couvert ; on sacrifiait ainsi l’aspect extérieur à une garantie de conservation exagérée. Il est de fait cependant, que ce bourrelet de chanvre produit par la tranche-file et recouvrant les coiffes, était plus résistant que la peau dont était couvert le volume.

Ces divers spécimens datent de la fin de 1400 et du commencement de 1500.

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Fig. C.

Cette façon de coudre et de passer en carton est encore celle que nous employons aujourd’hui… pour les reliures soignées et d’amateur. Nous n’avons rien inventé de nouveau ou de meilleur, et nous vivons sur des procédés vieux de trois cents ans. Malheureusement, nous sommes bien obligés de convenir que les modifications que nous avons successivement apportées dans ces premières parties du travail, ne sont pas à l’avantage de notre art. Pour arriver à produire vite et à moins de frais, les doubles nerfs ont d’abord été remplacés par des simples, qui bientôt ont disparu pour faire place à la couture à la grecque. Je ne parle pas de la couture à l’allemande, qui est pour moi la plus grande supercherie qui ait été inventée dans notre métier, ni de la couture au fil de laiton qui est d’invention toute moderne, et utilisable seulement pour les cartonnages faits mécaniquement et en grande quantité.

Revenons maintenant aux ais de carton.

Les ais de carton étaient, à l’origine, composés de plusieurs feuilles de papier collées les unes contre les autres et passées ensuite en presse pour les aplatir et les égaliser. Voici un fragment de plat d’après lequel vous pourrez vous en rendre compte. Il est fait très certainement avec au moins une vingtaine de feuilles de papier ; sa rigidité, si elle n’est pas égale à celle du bois, est malgré cela suffisamment forte pour servir à faire une bonne reliure.

J’ai eu dernièrement la bonne fortune de trouver une reliure exécutée en 1498, dont les ais ne sont pas en bois, mais composés de lamelles de papier, qui, dans leur disposition, sont imbriquées les unes aux autres, dans le sens de la largeur du volume, c’est-à-dire que chacune d’elles est recouverte sur le bord par le bord de sa voisine, et que le tout est disposé comme le sont les briques d’un toit. Elles sont ensuite maintenues entre elles par de larges bandes de papier collées dans le sens inverse.

Il est évident que l’artisan qui, à l’époque, a imaginé ce genre de carton, avait une idée : celle d’obtenir un plat non seulement plus léger, mais aussi plus souple que ceux composés de feuilles de papier entièrement collées les unes sur les autres. Ces lamelles de papier, disposées comme je viens de le dire, étaient en outre retenues de chaque côté par des feuilles de papier entières, et c’est dans cet ensemble qu’on a passé les doubles nerfs de parchemin sur lesquels on avait cousu le volume.

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Jusqu’ici, il est reconnu que les reliures molles, c’est-à-dire celles dont les plats ou cartons étaient composés de quelques feuilles de papier, et qu’on retrouve le plus souvent couvertes de parchemin, avaient commencé vers le milieu du xvie siècle ; c’était le genre de reliure employé pour les ouvrages courants, ceux auxquels on attachait moins de valeur et qui équivaudraient à ce que nous appelons aujourd’hui de simples cartonnages. L’exemple que je mets actuellement sous vos yeux est excessivement rare, c’est la première fois que je le rencontre, et, à ce point de vue, il est précieux pour l’histoire technique de la reliure. Il ne détruit pas, je crois, l’idée de voir commencer au milieu de 1500, les reliures molles en veau, en maroquin et surtout en vélin, car je le considère plutôt comme une exception que comme un usage répandu.

Pendant que nous avons sous la main une certaine quantité de documents, sans vouloir entrer dans les menus détails de la fabrication, qui vous sont savamment indiqués par les professeurs qui veulent bien s’attacher à nos cours du soir, je ne veux pas quitter ces premières phases de l’art, sans attirer votre attention sur la couture ancienne des livres ou, pour mieux dire, sur ce que nous appelons aujourd’hui les mors d’une reliure.

En vous apprenant la manière de coudre un livre, on vous a fait observer en même temps que le choix de la grosseur du fil avait pour but d’obtenir dans le fond des cahiers une plus ou moins forte épaisseur, c’est ce que nous appelons en terme de métier, fournir du dos, à l’effet d’avoir un mors suffisant pour y loger les cartons. Eh bien ! les anciens ne faisaient pas de mors, c’est une des manipulations du métier qu’ils n’ont pas trouvée, et ce perfectionnement est d’invention plus récente. Il peut remonter, avec un peu de bonne volonté, à peu près à la moitié du seizième siècle.

Je m’exprime ainsi, car une grande quantité de reliures de cette époque paraissent, sous ce rapport, avoir été faites avec un mors destiné à loger les ais dans l’épaisseur du dos, alors que l’effet obtenu est le plus souvent le résultat du hasard acquis par une pression plus ou moins forte.

Quand vous examinez la face du dos d’une reliure ancienne, vous ne pouvez vous rendre compte, à première vue, de la manière dont ce dos est obtenu, car les anciens avaient tourné la difficulté que leur occasionnait l’absence de mors, en amincissant en forme de biseaux le côté du plat destiné à recevoir les nerfs. C’est ce qui fait qu’en ouvrant les cartons, vous ouvrez en même temps, de chaque côté, une partie de la rondeur du dos. Cette manière avait le très grand inconvénient de provoquer, à brève échéance, l’usure de la peau à l’endroit de l’ouverture.

Nous allons maintenant laisser un peu de côté la question purement technique pour examiner la reliure dans sa décoration et dans ses coutumes, selon les différentes époques par lesquelles elle a successivement passé. Ce qui ne nous empêchera pas, quand l’occasion se présentera, de faire toucher du doigt les parties du métier qui s’offriront à nous comme originales, et formant des exceptions.

La reliure, à son origine, fut presque exclusivement fabriquée par les moines dans les couvents et dans les monastères. C’est du reste là que se sont trouvés réunis, pendant des siècles, les savants, les érudits et les artisans qui ont par la suite répandu sur le monde entier toutes les lumières de l’intelligence. Des travaux considérables sont sortis de ces associations; les manuscrits y étaient transcrits sur peau de vélin par le Scribe, quelquefois ils recevaient des peintures de l’Enlumineur et passaient ensuite dans les mains du Ligator ou relieur, qui réunissait les feuilles et les reliait. Ces moines étaient privilégiés et exempts d’impôts. Le seigneur même leur accordait le droit de chasser sur ses terres pour abattre les cerfs et en utiliser la peau afin de couvrir leurs manuscrits; aussi, eux seuls commencèrent à posséder des bibliothèques.

Lorsque ces bibliothèques furent mises plus tard à la. disposition du public désireux de s’instruire, les livres furent communiqués, munis d’une chaîne qui les retenait à l’endroit où ils étaient rangés; c’est ce que nous appelons les livres enchaînés. Ces livres, posés tantôt à plat et tantôt debout les uns à côté des autre», étaient attachés par leurs chaînes dans des casiers dont la tablette inférieure, plus large, tenait lieu de pupitre pour y poser l’ouvrage qu’on désirait feuilleter. La chaîne, fixée en haut du second plat du volume, avait à son extrémité un anneau dans lequel était passée une tringle placée au sommet de ce casier. Cette tringle, qui retenait plusieurs manuscrits à la fois, était fixée à chaque bout du rayon. Ceci vous montre que la confiance était loin d’être illimitée.

Voici un spécimen de reliure enchaînée, qui renferme un manuscrit de 1471 ; elle est couverte en peau de porc parcheminée, estampée de fers à froid; on y avait ajouté des lanières avec ferrements, afin que le volume restât fermé longtemps. Ces sortes de documents deviennent de plus en plus rares à retrouver.

Lorsqu’un ouvrage était très populaire et susceptible d’être souvent consulté, on ajoutait à la reliure d’énormes cabochons de métal, qui l’isolaient et la préservaient entièrement ; en voici un exemple par ces autres documents que je mets sous vos yeux et qui datent également de la fin du xve siècle.

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Plus tard, lorsque l’instruction se fut vulgarisée, les grandes villes eurent aussi leurs bibliothèques et là, comme dans les couvents, l’habitude d’enchaîner les reliures se continua pour les manuscrits et les livres précieux. La bibliothèque de l’Université de Leyde avait encore tous ses livres enchaînés au xviee siècle.

Les diverses reliures dont je viens de parler ont pris la dénomination de reliures monastiques, c’est-à-dire non seulement celles qui étaient faites, mais aussi celles que l’on supposait indistinctement avoir été exécutées dans les couvents et dans les monastères. Cette même appellation est restée en usage pour désigner toutes les reliures en peau de truie ou en veau estampées de fers à froid et qui datent des xive, xve et xvie siècles, et leur imitation est restée ce qu’on appelle le genre monastique.

Les xiiie, xive et xve siècles ont vu se former de véritables artistes, des orfèvres, des verriers, des sculpteurs, des dessinateurs, des architectes de grand mérite. On appelait ces derniers Magister lapidum; Jean Davi conçut la cathédrale de Rouen, Erwin de Steinbach celle de Strasbourg, Jean de Chelles dirigea les travaux de Notre-Dame de Paris; Pierre de Montereau, sous les ordres de Saint-Louis, posa la première pierre de la Sainte-Chapelle en 1245. Tous ces monuments, qui sont les plus beaux chefs-d’œuvre de l’époque et qu’on peut admirer aujourd’hui, attestent le réveil grandiose du génie humain. En 1466, Gutenberg arrive avec sa découverte de l’imprimerie, cet art vulgarisateur par excellence, qui a permis de répandre tout à coup à profusion ce qui, jusqu’alors, n’était l’apanage que de quelques privilégiés. À soN exemple, et comme pour l’aider à parfaire son œuvre, des dessinateurs, des graveurs jusqu’alors inconnus sortent de terre et, s’adonnant à l’illustration des livres d’heures, produisent ces premières remarquables éditions qui sont si recherchées aujourd’hui.

Eh bien, c’est de ces premières manifestations de l’imprimerie que découle l’ornementation à froid de la reliure des livres. Les artistes qui ont dessiné et gravé les splendides encadrements et miniatures des livres d’heures imprimés et édités par Vérard, par Pigouchet pour Simon Vostre, par Guillaume Eustace, par Thielman Kerver, etc., etc., sont les premiers révélateurs de l’ornementation de la reliure des livres, car tout porte à croire qu’ils ont été eux-mêmes aussi, les premiers artisans qui ont dessiné et fabriqué les plaques matrices dont on s’est servi pour l’estampage des reliures.

Dans le principe, ces plaques ou bordures qu’on admire encore sur les éditions du xve siècle étaient gravées sur bois ; on en obtenait l’empreinte à l’aide d’une forte pression prolongée sur une surface fortement détrempée. C’est de ce genre de travail que nous est restée la locution de fers à froid, employée encore de nos jours pour désigner Joutes les décorations obtenues sans or.

Ces blocs et motifs gravés sur bois ne restèrent pas longtemps en usage, car l’application en était longue et souvent défectueuse ; on remplaça le bois par le métal, qui permit, en le faisant légèrement chauffer, d’obtenir des épreuves plus régulières et plus vigoureuses.

Généralement, au centre de ces décorations à froid, figurait un sujet représentant une des scènes les plus importantes de l’écriture sainte ou un épisode de la vie d’un saint, par exemple celui sous la protection duquel se plaçait ordinairement le relieur, car la foi religieuse était alors très grande ; ou encore, plus tard, les milieux étaient occupés par des portraits d’empereurs, de princes ou d’hommes célèbres. Voici, à l’appui de ce qui précède, un livre d’heures sur lequel se trouve rapportée une plaque ancienne, représentant l’image de sainte Gertrude, en pied sous une architecture qui dénote déjà le commencement de la Renaissance.

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Cette plaque décorative est parlante, car sur les pilastres et dans le couronnement de l’arcature on lit la légende suivante : Sum bibliothecœ cœnobii divœ Gertrudis apud Lovanienses.

Comme on le voit, cette reliure monastique fut faite pour et dans le couvent ou l’abbaye de Sainte-Gertrude, à Louvain, au milieu du xvie siècle ; ce couvent avait adopté l’image de sa patronne pour décorer ses reliures.

Souvent, pour mieux orner les formats de grande dimension, ces sortes de miniatures étaient utilisées par deux et par quatre, soit de même motif soit de composition tout à l’ait différente.

Les encadrements sertis de filets étaient aussi quelquefois composés de petites miniatures religieuses et emblématiques, qui ressemblaient à de véritables marges imprimées prises dans les livres d’heures dont j’ai parlé tout à l’heure, ou accompagnés et souvent même exclusivement composés d’ornements courants mêlés de devises, de fleurs de lys, de rinceaux, d’animaux chimériques et de motifs les plus divers.

Voici une très belle reliure estampée à froid, qui a été reproduite dans mon Manuel de l’amateur de reliures (page 16). Elle est couverte en peau de porc parcheminée. Quatre plaques de motifs différents composent l’ornementation du centre de chaque plat. Au recto, on voit le portrait de l’empereur Charles-Quint avec ses armes et surmonté de sa devise ; à côté, celui de Jean-Frédéric, électeur de Saxe. Au-dessous, se trouvent des scènes de l’Ancien Testament : Adam et Eve tentés par le démon, l’Adoration du serpent d’airain, Moïse montrant les Tables de la Loi, la Mort précipitant un damné dans les flammes et le Crucifiement.

Au verso, dans un arrangement semblable, sont les portraits de Luther, de Melanchton, la figure allégorique de la Fortune et celle de la Justice. Le tout est accompagné et encadré de roulettes à dessin courant et à petites miniatures, de filets et de fers ajoutés les uns au bout des autres.

Cette reliure, que j’ai tout lieu de croire de fabrication suisse, est dans un admirable état de conservation ; elle est très typique et très remarquable par sa composition ornementale.

Les plus intéressantes reliures estampées à froid des xve et xvie siècles, et les mieux faites, ont été exécutées dans le nord de la France et surtout dans les Flandres. L’Allemagne et aussi la Suisse en ont produit de grandes quantités, mais elles n’ont pas, à beaucoup près, dans leur composition comme dans leur facture, la valeur des autres.

Je voulais terminer la réunion d’aujourd’hui avec les reliures estampées à froid, mais je vois que cela me mènerait trop loin, et cette période de l’art est trop importante pour que je ne la traite pas à fond comme elle le mérite. Je compte donc m’arrêter ici pour aujourd’hui, et je reprendrai, en commençant la troisième conférence, la continuation de l’étude de ces reliures à froid. Elles nous feront connaître certains noms de moines relieurs et de rares artisans libres qui ont, pour la première fois, attaché leur nom à leurs œuvres. »

Léon Gruel

10 Commentaires

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  3. C’est vrai que l’option nouveau commentaire n’existe plus, mais par contre, il y a un onglet qui permet de voir les derniers commentaires. Il y en a d’ailleurs qu’Hugues devrait rapidement effacer et qui n’ont pas vraiment de rapport avec la bibliophilie, ni avec l’amour de quoi que ce soit d’ailleurs …

  4. ah les vacances ! on commente moins, c’est vrai. A noter une petite régression par rapport à l’ancien site : on n’a plus la possibilité, quand on commente, d’être averti des nouveaux commentaires.. 🙂

  5. Merci Philippe,
    Mes lecteurs ont toujours été très paresseux, un commentaire représente aujourd’hui plusieurs milliers de lecteurs silencieux. C’est vrai que c’est parfois frustrant.
    La fréquentation est désormais supérieure à celle du blog, mais je ne m’y arrête pas trop. J’ai prévu de faire un point à la rentrée, et peut-être d’ajouter quelques nouveautés.
    Hugues
    PS: vu dans Historia! Bravo 😉

  6. Merci beaucoup Hugues pour la mise en ligne de ces textes de Gruel. Je ne sais pas si les lecteurs du bibliophile ont beaucoup de reliures antiques ou médiévales dans leurs bibliothèques, mais cela fait toujours du bien de revoir ses fondamentaux … En parlant de lecteurs, où êtes vous ? Les commentaires se font rares ! Vous êtes déjà tous partis en congés ou encore un peu déstabilisés par le nouveau format du « bibliophile » ?

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