7 Commentaires

  1. Je viens de réaliser un ex-libris, sans vraiment de prétention, mais l’idée de m’enchainer à un livre, de m’insérer dans son histoire me plait.
    Mon problème est de connaitre une technique de collage réversible, pour le moment je ne colle que les 2 coins supérieurs, mais j’ai peur que le futur propriétaire en l’enlevant n’arrache des morceaux de la page de garde. Bref, je tâtonne encore en a matière.

    Je serais aussi très intéressé d’une petite exposition sur ce blog d’ex-libris contemporains.

  2. Ces deux ex-libris sont en effet de toute beauté, et donnent à réfléchir, en particulier le second. Je suis, moi-même, toujours très heureux de trouver un ex-libris gravé dans un livre que j’ai acheté, si insignifiant soit-il en apparence; il fait mieux comprendre que l’on appartient à une chaîne, et laisse toujours le loisir de se faire une idée de la mentalité des précédents propriétaires -cela ne vaut bien sûr pas dans le cas des ex-libris armoriés. J’aime particulièrement les ex-libris « parlants » (une poule pour M. Lapoule…).
    Sur la nécessité d’en avoir un, un débat animé a eu lieu pendant l’été (en l’absence d’Hugues…); il me semble que, au mieux, les futurs possesseurs en seront, comme moi, très contents; au pire, ils l’enlèveront délicatement (ce qui suppose bien sûr que l’application de l’ex-libris soit faite d’une manière réversible). Cela dit, je n’ai pas, à titre personnel, sauté le pas.
    D’après tout ce qui précède, il me semble que la pratique consistant à ôter des ex-libris des livres auxquels ils appartiennent pour les réunir dans des carnets, à la façon de timbres (j’allais dire « vulgaires » timbres, mais je me retiens, en raison du message précédent sur la valeur des différentes collections), est tout à fait déplorable.
    Guillaumus

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